Y a-t-il trop d’info sur ce site ?


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Réponse d’Annie Lobé, 2 mai 2010.

L’un des phénomènes récents que j’ai pu observer est que ceux qui refusent de prendre en compte la composante électromagnétique de leur environnement s’en mordent les doigts de plus en plus rapidement.

Quand ils se réveillent, il est parfois trop tard. Ils ne tombent pas forcément malades eux-mêmes, parfois ce sont leurs êtres chers qui sont frappés : conjoint, enfant, frère ou sœur, ami(e)…

Sans oublier les séparations amoureuses, les disputes avec les adolescents, les troubles d’apprentissage des enfants. Car la vie du couple et le climat familial sont fortement détériorés par le sans-fil et l’ambiance électrique, et les ondes électromagnétiques, dont la première cible est le cerveau, contrarient son développement à la fois in utero et pendant la prime enfance, ainsi que sa maturation ultérieure.

Ceux qui ont cru aux bidules de pseudo protection vendus dans les réseaux “bio” commencent eux aussi à affronter des disparitions douloureuses.

L’exposition de l’ensemble de la population augmente à une si grande vitesse que, riche ou pauvre, personne n’est à l’abri.

Si les produits dangereux étaient interdits à la vente, les téléphones portables et les ampoules basse consommation n’existeraient pas. Et ce site Internet non plus.

Mais au 21ème siècle, la vente libre de produits dangereux est autorisée. Le consommateur ignore trop souvent qu’il a la charge de se renseigner sur les précautions élémentaires d’utilisation pour éviter des effets nocifs.

Certains veulent juste consommer tout ce qu’ils ont les moyens d’acheter. Ils acceptent l’idée d’être tuées par ces produits : “Il faut bien mourir de quelque chose !”. Ils ont laissé au placard leur instinct de survie. Il leur suffit de “savoir” que tel ou tel produit est dangereux et de croire que : “Pour l’instant, rien n’est prouvé”. Pour eux, il y a trop d’information sur ce site.

À l’inverse, d’autres personnes veulent exercer leur discernement sur le choix de ce qu’elles consomment. Et de nos jours, ce mode de vie est une forme d’instinct de survie (ou d’intelligence) fort utile.

Elles ont compris qu’il ne suffit pas de “savoir” superficiellement qu’un produit est dangereux pour être protégé.

 

Ces personnes savent qu’une connaissance vivante et concrète est la meilleure défense face aux armes invisibles que représentent ces ondes émises par les gadgets électroniques, dont l’étendue du pouvoir destructeur est difficile à appréhender.

Elles voient que je ne propose ni accessoires (inutiles), ni tissu, ni peinture (fausses solutions susceptibles de créer d’autres problèmes), ni mesures de champs électromagnétiques (anxiogènes ou, à l’inverse, faussement rassurantes), ni espaces publicitaires (qui donnent aux entreprises payant la publicité le pouvoir de contrôler l’information).

Elles savent que l’information disponible sur ce site n’est que de la partie émergée de l’iceberg. Et elles savent aussi que ce n’est pas en restant assis devant son ordinateur que l’on peut résoudre quelque problème que ce soit.

Ces personnes avisées lisent mes livres et les font circuler dans leur entourage, pendant qu’il en est encore temps.

Elles ont la curiosité d’assister à mes conférences pour connaître les dernières révélations de cette enquête, qui sont toujours des informations très concrètes.

Elles comprennent qu’ainsi elles ne font pas que gagner du temps et de l’argent, car mes informations sont fiables et indépendantes, mais aussi elles préservent leur inestimable capital de santé et de vie et celui des générations futures.

Elles se rendent compte que ce n’est pas seulement la planète qui est de plus en plus menacée par les décisions de ces oligarques(1) qui ont pris les commandes du monde, mais aussi leur propre intégrité et leur vie même.

Elles prennent conscience de la nouvelle sorte de guerre qui se déroule sous nos yeux, une guerre totale, une “guerre au vivant”[2] qui ne lésine sur aucun moyen de  désinformation, de dissimulation et de manipulation pour nous obliger à consommer des produits courants toxiques, comme les ampoules basse consommation, les OGM et bientôt les nanotechnologies

Elles pressentent qu’il nous reste peu de temps pour exercer notre libre-arbitre et transformer en actions les informations pertinentes, avant que notre vie ne bascule.

Plus nous sommes inondés par un flot d’informations contradictoires, plus il est important de bien choisir à qui accorder notre confiance.



(1) Selon Hervé Kempf, journaliste au quotidien Le Monde et auteur de Comment les riches détruisent la planète, nous ne vivons pas dans une démocratie mais dans une oligarchie, c’est-à-dire un régime politique dans lequel la souveraineté appartient à un petit groupe de personnes, à une classe restreinte et privilégiée (propos tenus lors d’une conférence au salon Marjolaine le 14 novembre 2009).

(2) Titre d’un livre de Jean-Pierre Berlan, directeur de recherche à l’INRA, sur les OGM (Agone, 2001).

Dossier du site Internet

Pour celles et ceux qui n’ont pas accès à Internet ou savent qu’il vaut mieux éviter de rester devant un ordinateur, ont été réunis dans ce dossier les principaux articles, interviews, éditos, communiqués et documents figurant sur ce site. Ce dossier évolue avec les mises à jour effectuées sur le site.
Actuellement, version du 8 octobre 2013.






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